Bonjour
Peut-on estimer le risque de collision du fait de l'augmentation de la vitesse moyenne ainsi que de la difficulté à sortir des virages que les paraboliques
ont induit?
Yves
ouan-ouan a écrit:Bonjour
Il me semble qu'avec les paraboliques on a en effet aggravé les entorses du genou
ski bloqué : un parabolique mis sur la tranche ne dérape pas,(même des skis peu pointus)
Le ski poursuit vers l'avant, le skieur de retrouve en arrière, sur le còté
genoux fléchis en rotation. ce simple mouvement explique la rupture du croisé antérieur et la protection relative des ligaments latéraux
alors qu'auparavant les premiers à lâcher étaient les latéraux puis tardivement les croisés
la seule solution pourrait être une butée avant qui lâche en vertical et cela précocément.
ouan-ouan a écrit:En fait il n'y a pas trop de problèmes pour le haut niveau:On bloque tout, si rupture du croisé, on opère, quant aux séquelles tardives elles ne ne font plus l'objet d'un suivi. ni surtout de communication (ne parlons pas des choses qui risqueraient de ternir cette si belle image)
Par contre quand le sujet est moins sportif, plus vieux.... il est assez rare qu'il perçoive la nécessité de ce type de matériel et fait confiance à un réglage souvent subjectif fait en magasin (D'autant qu'il pense qu'avec les paraboliques tout est plus facile.) en cas de rupture la décision opératoire est plus difficile.
Pour le niveau intermédiaire (skieurs de club) combien sont ils à verrouiller leurs fixations?
Yves
le retour vers plus de longueur pour les skis de compétition a t'il permis réellement de gagner en sécurité?
(C'est aussi une question interressée je souhaite acheter une paire de Fisher de spécial (J'ai définitivement oublié les skis de géant: trop rapides et dangereux pour moi))
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